Fernand Crommelynck – Le cocu magnifique – Tripes d’or
20,00€
Description
Paris, Le Club Français du Livre, 1956, toile bleue illustrée, 342 pp., illustrations hors-texte, notice biographique. Dos légèrement passé.
Le Cocu magnifique est une pièce de théâtre écrite en 1920 par l’auteur belge Fernand Crommelynck. C’est une comédie tragique en trois actes qui explore les thèmes de l’amour, de la jalousie et de l’obsession, dans un style caractéristique du théâtre grotesque. La pièce raconte l’histoire de Bruno, un homme follement amoureux de sa femme Stella. Leur amour semble parfait, mais Bruno est tourmenté par une jalousie dévorante et irrationnelle. Il aime tant sa femme qu’il est convaincu que tous les hommes du village sont attirés par elle et qu’elle finira par le tromper. Pour tester la fidélité de Stella et purger ses craintes, Bruno va jusqu’à lui demander de le tromper. Cette demande absurde met en branle une spirale de malentendus et de folie qui dégénère en chaos. Les villageois se mêlent à l’histoire, et la situation devient grotesque à mesure que Bruno s’enfonce dans sa paranoïa, ce qui finit par détruire son couple et plonger tout le village dans le désordre.
Les Tripes d’or, écrite par Fernand Crommelynck en 1925, est une pièce de théâtre en trois actes qui s’inscrit dans la continuité de son style caractéristique du théâtre grotesque, alliant tragique et comique. La pièce explore des thèmes tels que la cupidité, la vanité et la quête du pouvoir à travers une intrigue teintée d’humour noir et de satire sociale. L’histoire tourne autour du personnage principal, Violette Tripes, un homme humble et ordinaire qui, soudainement, devient l’objet d’une immense fortune et d’un pouvoir inattendu. Il hérite de manière miraculeuse d’une immense richesse et est proclamé “le roi des Tripes d’or”. Cet héritage transforme radicalement sa vie, et il se retrouve plongé dans un univers de pouvoir, de manipulation et de corruption. Cependant, cette fortune inattendue ne tarde pas à révéler les vices cachés de Violette Tripes et des autres personnages qui gravitent autour de lui. La quête du pouvoir et de la richesse fait ressortir les pires aspects de leur personnalité, les conduisant à des actes cruels et absurdes. La pièce devient une critique acerbe de la société, où la cupidité et la soif de reconnaissance sociale dévorent l’âme.